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Kunta Kinté , c'est un 1976 que j'ai découvert ce garçon mandingue qui vivait en afrique au 18eme siecle , je l'ai rencontré dans les pages du roman  RACINES que ALEX HALEY à écrit pour nous raconter l''histoire d'une famille afro-américaine , sa propre famille . Le roman couvre de l'époque de l'esclavage à l'époque contemporaine. récit historique le plus célèbre peut etre de l'histoire de la télévision américaine qui permettra à son auteur de remporter en 1977, le Prix Poulitzer pour cet oeuvre mais permettra aussi aux lecteurs et spectateurs d'avoir un regard nouveau sur l'esclavage .. 

En 1977 un feuilleton  était tirée de cette oeuvre , proposée sur les ecrans français en 1978 il n'a malgré sa qualité et son succès considérable été rediffusé une seule fois sur france O il me semble ..

Est ce en souvenir de ce jeune homme emporté en esclavage sur la terre africaine que j'ai eu envie de connaitre le mali ? peut etre ... Mon amour de l'afrique ne l'ai je pas puisé dans mes lectures de jeunesse lorsque je partais en imagination avec la famille mahuzier !

Racines en 2016 a été une nouvelle fois adapté à l'ecran et c'est numero 23 qui en ce début 2017 nous permet de retrouver cette fresque historique .. bien entendu si l'histoire reste la meme , la production de 2016 y a gagné en qualité , tant par les couleurs , la bande son  mais aussi en réalisme la violence des moeurs de  l'époque n'etant pas édulcorée .  le "feuilleton " de l'epoque est aujourd'hui une  "série" d'une qualité indéniabl . 

Les premieres images nous transporte en afrique , dans l'actuel mali ... profitez du replay ! http://www.numero23.fr/programmes/racines/

Si vous vous interessez à la traite des noirs regardez en replay sur france 0 la serie proposée en ce début d'année 2017 ..the book of negroes , serie canadienne dont l'action se situe egalement au XVIII eme siecle ,est adaptée du livre éponyme du Canadien Lawrence Hillet . Elle vous permettra de completer votre savoir sur la vie de cette époque lorsqu'on est en afrique puis plus tard vendu comme esclave car  the book of negroes quoi que roman est basé sur des faits réels , cette serie de 6 episodes  été diffusée pour la 1ere fois sur CBS debut 2015, 

.http://www.franceo.fr/emission/book-negroes/diffusion-du-07-01-2017-20h55

QUELQUES INFOS SUPPLEMENTAIRES

peuls mandingues,songhai,bambaras.. sont les tribus d'une meme region d'afrique et qui couvre aujourd'hui le mali ,  la guinée ...

la poudre des jesuites dont on parle dans the book of negroes ( la poudre que rapporte le planteur en meme temps que la petite Aminata) est de la quinine : (Des jésuites de Lima rapportèrent son usage à Rome pour soulager les fièvres )

j'en profite aussi pour vous inviter à regarder le film 12 Years a Slave 

EN FIN D ARTICLE RETROUVEZ LA VIDEO DU 1ER FEUILLETON RACINES(1er episode) diffusé en 78 

kunta kinté "RACINES" Épisode 1 (parties 1/2... par thaillepan

  la Tunisie, semble moins attractive en ce moment pourriez vous penser,  mais si les touristes à la recherche d'un automne passé en hotel club exclusivement , vont devoir changer leur destination préférée , ceux qui sont ouverts à l'idée de découvrir djerba avec un hébergement comme hotel classique ,  chambre d'hotes ou location vacances vont pouvoir profiter des plages désertées , de l'été indien , pour voir l'ile sous un autre jour . Celui extra muros , l'école buissoniere vous mènera au fil des chemins creux , dans la djerba agricole plus que touristique .Voir les belles plages, mosquée de sidi jmour , souk de houmt souk ... je suppose que tout cela vous l'avez déjà lu sur les guides mais c'est en vous promenant au coeur de l'ile que vous vivrez les plus beaux instants ..Si le street art vous tente , deambulez dans la medina d'Erriadh , vous préférez visiter les musées vous montrant les traditions et coutumes djerbiennes rendez vous à guellala , à houmt souk , a djerba explore ...la nature, les animaux , la photo , la peinture sont des mots qui chantent à votre oreille , là bas des couchers de soleil magnifiques , des oiseaux marins superbes, des houch à demi cachés au creux d'une palmeraie , les couleurs , les dégradés  seront là pour que crayon pinceau ou reflex puissent les immortaliser .. 

Tout le monde le sait , l'argent mene le monde et dans ce cas il ne faut pas s'étonner si les voyagistes n'ont pas pour cet automne et hiver , prevu des sejours dans leurs hotels favoris , le tourisme cet été s'est voulu différent en se tournant vers les russes puisque l'europe très respectueuse des règles , a préféré garder ses touristes sur son propre sol , la france la belgique n'etant plus vous avez bien compris pourquoi , une destination très prisée .. Mais là où le bas a blessé c'est que les russes boivent plus que de mesure aux dires des hotels qui les ont reçus , et les structures n'etaient pas adaptées à des personnes bruyantes , plus compliquées à gérer que des européens dont ils connaissent les habitudes : j'allais noter bonne bouffe mais dans les hotels clubs c'est plus "bouffe à gogo" , les alcools meme ne sont pas les memes à proposer , et tout cela dans un pays où l'alcool n'est pas proposé à tous les coins de rues ( un peu comme le fromage de hollande proposé en afrique du sud dans les lodge et qui cooute son poids d'or si on compte le transport etc ..) ,les activités meme ne peuvent pas être les memes ( et là je ne parle pas seulement de la barriere de la langue) selon que vous êtes français ( dont on connait le gout pour le grivois , comme les belges d'ailleurs ) ou asiatiques et donc très respectueux de certaines "retenues" .. 

Lors donc les personnes désireuses de profiter du doux climat de djerba choisissent pour beaucoup la maison d'hotes , l'hotel classique ou l'hotel de charme , la location saisonniere selon leur budget .. mais connaissant souvent depuis plusieurs années les bons côtés de djerba beaucoup decident de s'y expatrier , pour la retraite principalement .. Trouver un boulot sur place est moins facile qu'on ne le pense mais de nombreux européens francophones y coulent de jours heureux en ayant choisi un métier qui leur plait et ce qu'ils nous proposent le montrent bien , ils ont souvent un job plaisir : ranch , restaurants , chambres d'hotes , cafés , agences de voyages (excursions) . 

D'autres preferent n'y passer que les 6 mois d'hiver , rejetant dans leurs souvenirs les rigueurs des mois frileux .. on peut rester à djerba 6 mois avec un passeport , sans être expatrié .. mais 6 mois qui seront entrecoupés d'une courte absence 3mois 3mois .. 

Alors que vous ayez envie d'y passer une petite semaine .. un long séjour ... ou meme quelques années , djerba vous permettra de passer d'agréables moments ... 

bien entendu , je ne vous cacherai pas qu'une petite adaptation s'impose ! meme si une grande galerie marchande et quelques supermarchés ( carrefour market) pourraient vous faire croire que djerba est très modernisée , la vie est bien différente en europe et là bas .. le temps coule beaucoup plus lentement semble t'il alors laissez votre stress en europe , pensez cool , longueur de temps, sinon vous vivrez un coup dur , vous ne vous adapterez pas !

 

 

 

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 Djerba : Bin El-Ouediane et Borj El-Castil, un patrimoine en péril Par Naceur Bouabid *

L'ancien fort Borj El-Castil, construit en 1284, et la presqu'île de Bin El-Ouediane, à Djerba, représentent un patrimoine naturel et culturel qui mérite d'être préservé.  Borj El-Castil n'est plus que l'ombre d'un fort jadis florissant et rayonnant de splendeur.

Erigé initialement par le conquistador aragonais Roger de Loria en 1284, pour y placer une importante garnison et établir le siège de gouvernement des Chrétiens de Sicile suite à leur prise de Djerba en 1280, il fut repris et restauré dans un premier temps par les Hafsides en 1337, avant d'être récupéré par Dargouth Pacha en 1551, qui renforça les défenses du monument par des remparts extérieurs pour en faire un poste défensif avancé et de surveillance de l'entrée du détroit d'El-Kantara, et enfin de nouveau restauré au 17e siècle par Hamouda Pacha. Aujourd'hui, ce monument est dans un piteux état avancé de dégradation, qui vient d'ailleurs d'être constaté par la directrice générale de l'Agence de protection et d'aménagement du littoral (Apal) lors d'une visite d'inspection effectuée le 22 août 2016. Le sort ingrat auquel il est réduit, depuis longtemps déploré et dénoncé de vive voix par l'Association pour la sauvegarde de l'île de Djerba (Assidje), est incompatible avec son rayonnement séculaire d'antan. Le monument est aujourd'hui dans un piteux état avancé de dégradation. Construit à peine au-dessus du niveau actuel de la mer, à la pointe de la presqu'île de Bin El-Ouediane au sud-est de l'île, réputée pour être un territoire humide vulnérable inondable, le fort est sous la menace imminente de l'effondrement. Ses remparts sont perforés et éventrés et ils ne tiennent qu'à un fil; l'enceinte, méconnaissable, n'est qu'un amas de pierres et de gravats jonchant le sol. Soumis à l'action érosive intense de la mer et aux nuisances anthropiques incessantes, les jours de ce si beau monument sont comptés, si entre-temps rien ne se fait pour le prémunir d'un effondrement total indubitable, synonyme d'effacement d'un pan charnière de l'histoire de l'île. A quand la mise en application du scénario de gestion et d'aménagement du site? Vers un aménagement et une nouvelle gestion du site. Dans le cadre de la mise en place d'un processus de gestion des sites fragiles, l'Apal a confié au bureau d'études Comete Engineering le soin d'entreprendre une étude de gestion de la presqu'île de Bin El-Ouediane qui regorge de potentiels et de spécificités : un patrimoine naturel avec ses composantes floristique, faunistique et marine, avec ses peuplements avifaunes et sa dynamique sédimentaire; un patrimoine paysager spécifique marqué par une horizontalité dominante et une ouverture sur la mer; un patrimoine culturel avec l'élément d'appel majeur qu'est le Borj El-Castil, avec les vestiges (probablement romains) identifiés sur le site de la dune avoisinante et d'autres sites à intérêt historique ou cultuel repérés, dont Sidi Marcil. En mars 2000, un rapport correspondant à la deuxième phase de l'étude, dans sa version définitive, et développant dans les détails le scénario de gestion et d'aménagement proposé, a été remis à l'Apal pour être finalement retenu après concertation. Un site à intérêt écologique, historique et culturel. Le scénario proposé prévoit des actions de protection et de valorisation de tous ces éléments relevés, de tout ce potentiel patrimonial. De belles réalisations d'envergure, savamment réfléchies, étaient prévues et concernaient toutes les composantes matérielles du site.

Sur le plan culturel, le fort aurait été réhabilité, son architecture d'origine restituée, son espace environnant pris en charge et amélioré et un éclairage nocturne adéquat le valorisant mis en place. Sur les plans naturel et paysager, une seule voie d'accès reliant le fort à la route littorale aurait été aménagée, parant à la multiplication des voies et des pistes sillonnant la presqu'île en vigueur actuellement, une haie végétale dense et continue, longeant la route, aurait été installée; des dunes consolidées plantées de palmiers auraient été créées pour assurer une certaine continuité paysagère avec le reste du territoire, etc. Que de temps perdu depuis ! Que d'acquis dilapidés ! Que de dégâts perpétrés sur le site auraient pu être évités, hélas ! Des études de gestion ont abouti à des propositions de scénarios concrets de protection et de valorisation du site. La presqu'île de Bin El-Ouediane, comme celle de Ras R'mel au nord-est sont, deux zones humides vulnérables, classées dans la Liste Ramsar des zones humides d'importance internationale, soumises à une convoitise toujours vorace d'espaces et de ressources et sont, de surcroît, le théâtre des dérapages les plus insensés; toutes deux ont fait l'objet d'études de gestion ayant abouti à des propositions de scénarios concrets de protection et de valorisation, toujours d'actualité, mais qui sont demeurés sans suite malheureusement et qui ne demandent maintenant qu'à voir le jour pour contribuer au salut futur de ces deux zones fragiles de l'île.

* Ancien président de l'Association pour la sauvegarde de l'île de Djerba (Assidje). 

des agences de voyages locales , meme des taxis vous proposent des excursions , en voiture particuliere , en 4x4 , en bus ,

profitez de votre sejour en tunisie ,et notamment si vous etes en location chez moi ,  à la villakhawa  djerba midoun , pour découvrir le sud tunisien ..

mais vous pouvez simplement louer une voiture particuliere sans chauffeur , prendre une carte ( gps c'est bien mais carte michelin c'est déjà l'aventure non ?!) on en trouve chez amazon par exemple .et vous lancer vers la découverte .. 

Pas de soucis , les routes sont pratiquables et souvent en meilleur état qu'en france (!!) ne vous aventurez pas sur les pistes si vous etes seul .. quoique le reseau telephonique couvre une bonne partie de cette région , mieux vaut partir à 2 voitures si vous n'etes pas accompagné par un guide . Vous ne trouverez pas un garage à chaque coin de chemin !! 

je n'ai pas de photo sous la maison , la sortie organisée dont parlait mon post au depart a été effacée par le groupe qui la proposait ... 

 

 

 

 

Cet été ils sont là : allemands , italiens , français , habitants des pays de l'est ..Les rues de midoun résonnent de langues differentes ,  un melting pot de touristes aussi nombreux que différents : la fana de shopping les bras chargés de "souvenirs", le vacancier -photographe à qui l'epouse sourit béatement en rentrant le ventre avant le clic fatidique, la "peau rouge" qui tient absolument à rendre jaloux ses amis quitte à attraper un super coup de soleil et à "horreur suprème " peler !(car si le ciel est voilé les rayons du soleil eux sont là,  ceux qui bronzent et ceux qui brulent !) il y a monsieur qui regrette la partie de pétanque ratée pour faire les souks où madame ne voulait pas aller seule ,des gamins qui braillent car il fait chaud et ils veulent aller se baigner plutôt que de déambuler dans les rues , surtout qu'ici il n'y a pas de jouets merveilleux à vous faire pâlir d'envie .

Il y a les demoiselles , les yeux brillants et les joues roses en entendant tous ces compliments que leur envoient les jeunes marchands . Oui oui il y en a encore qui rougissent mais j'avoue , elles sont rares ! nos ados sont plutôt blasées étant donné la liberté d'esprit en Europe ...si elles savaient ce qu'est la vie de certaines jeunes tunisiennes ici à Djerba pays du soleil , de la mer , et de la drague ....

Les rues à certaines heures sont bondées , on se bouscule ...le vendredi jour de marché à midoun c'est la cohue ...le samedi les rues retrouvent leur calme quant aux plages des hotels elles ont des allures de plages de st tropez ! 

L'hiver , alors que le soleil distribue ses rayons  un peu moins brulants , c'est un plaisir de se promener dans ces ruelles où chaque boutique vous promet mille merveilles ... mais djerba reste un lieu de villégiature qui attire beaucoup l'ete  En 2016 pourtant l'arrivée des touristes européens etait "timide" certains pays comme la belgique ou la grande bretagne ayant demandé à leurs citoyens à ne pas aller en tunisie ( allez savoir pourquoi , d'autant plus que djerba etant une ile ell reste "en dehors des evenements" le plus souvent )  , beaucoup moins nombreux qu'habituellement  les européens ont été remplacé par russes , chinois , algeriens  qui ont pris d'assault certains hotels .. 

Le ressenti était resté mitigé , et les attentes des 2 côtés de la lorgnette n'ont pas été toujours atteintes .laxisme des uns , exigeance des autres ... le tourisme n'est pas chose facile , il faut savoir s'adapter aux désirs des voyageurs et un russe ne recherche pas les memes choses qu'un asiatique ..les hotels et les clubs hotels n'ont pas toujours sû s'adapter aux criteres souhaités par les clients .. les chambres d'hotes habituées à une convivialité recherchée par les touristes européens ont connu le desagrément des groupes peu familiarisés avec ce type d'hébergements ..

mais cet été de nombreux européens ont repris le chemin de cette ile qu'ils apprécient beaucoup . 

A la villakhawa ,  la location vacances se fait pour beaucoup grace au bouche à oreille, les vacanciers viennent et reviennent , finissent par avoir leur petites habitudes et retrouvent l' appartement comme s'ils venaient dans leur maison de vacances .. mais j'aimerais que la villakhawa soit découverte aussi par ceux qui pour l'instant n'ont pas encore eu l'occasion d'y poser leur valise ,  barriere des langues facilement enjambée grace à google translation qui nous permet de converser par mail interposé . 

septembre 2016 est arrivé avec sa température moins etouffante , souhaitons que l'ile de djerba connaisse  en 2017 une arriere saison agréable tant point de vue météo que ambiance ....alors pourquoi ne viendriez vous pas gouter à la douceur de la saison d'automne qui n'a d'automne que le nom , avec ses journées ensoleillées, la mer à temperature idéale , les journées encore assez longues pour profiter des promenades ...

vous qui aimez vous ballader à cheval vous pourrez faire des promenades agréables sans ressentir la jambe du cheval qui fléchit sous la fatigue et la chaleur ..je vous donnerai le nom d'un haras sérieux si vous le souhaitez

lorsqu'il fait chaud on peut moins profiter de certains loisirs et même déambuler dans les rues d'Erriadh pour admirer le street art par exemple c'est mieux lorsqu'il fait doux ! alors songez y !

En egypte le lotus s'appelle nénuphar, parce qu'au nouvel empire , les nymphéas (lotus) furent appelés Nafouar "les belles" , ce mot est passé dans notre langue sous le nom de nenuphar 

ceux qui comme moi sont allés en egypte , et sous la chaleur ecrasante ont découverts la vallée des rois retrouveront dans superbe poeme de bernard dimey les emotions ressenties en foulant le sable de cette region d'gypte ..

bernard dimey nous mene dans ses pas en egypte , lui qui nous a fait decouvrir le "truc en plume" de zizi jeanmaire mais aussi "syracuse "qu'henri salvador a fait rentrer dans les maisons par le biais de la radio .

 

Si je mourrais demain j'aurais dans la mémoire 

l'impeccable dessin d'un  sarcophage d'or 

et pour m'accompagner le long des rives noires

le sourire eclatant des enfants de louxor . 

Les enfants de louxor ont quatre millénaires 

ils dansent sur les murs et toujours de profil

mais savent sans effort se degager des pierres 

à l'heure ou le soleil se couche sur le nil 

Je pense m'en aller sans que nul ne remarque 

ni le bien ni le mal que l'on dira de moi 

mais je deposerai tout au fond de ma barque 

le caillou ramassé dans la vallée des rois 

bernard dimey 

Aujourd'hui ce n'est pas moi qui vous parlerai de djerba , je laisse la parole à un ami qui sait si bien nous devoiler le djerba dont les traditions coule dans ses veines .. il a mille recits à partager avec nous . Sous sa plume on se prend à rêver qu'on a vecu en sa compagnie ces instants de vie qu'il nous raconte alors suivez le lien et vous aussi partez à la decouverte de ses récits .

http://www.wepostmag.com/djerba-histoire-dun-habit/

note glannées parmi mes amis :

à Tunis, c'est Nessim Chemama, le Caïd des juifs, qui obtint du Bey la faveur d'autoriser les femmes juives à porter un sefsari à bandes oranges comme signe distinctif...